je suis pas vraiment d'accord avec toi sur ce point...ce mec est un patron qui ne jure que par le fric...rien a voir avec un "patron sympa" ...
alors après ok il nous fait un forfait a prix "correct"...mais bon faut pas pousser, d’ailleurs sur son wiki ça fait pas envie...: je vous met quelques breves :
Il teste le potentiel du minitel dès 1983, alors qu'il est lycéen Il débute son parcours professionnel en 1984 en créant des services de minitel rose5, des peep-shows et sex-shops6. En 1987, il arrête sa classe préparatoire scientifique pour se lancer à plein temps dans une entreprise de services par minitel7.
Il rachète en 1991 Fermic Multimedia, un éditeur de services de minitel rose créé dans les années 1980, et le rebaptise Iliad8. Il en restera actionnaire majoritaire (66,5 % du capital en 2008 ).
Xavier Niel est mis en examen et placé en détention provisoire le 28 mai 2004 pendant un mois pour proxénétisme aggravé et recel d'abus de biens sociaux concernant un de ses peep-shows. Le 30 août 2005, une ordonnance de non-lieu est rendue en sa faveur par le juge d'instruction Renaud Van Ruymbeke concernant les accusations de proxénétisme.
Il est condamné le 27 octobre 2006 à deux ans d'emprisonnement avec sursis et à 250 000 euros d'amende par la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour recel d'abus de biens sociaux datant de 2001 à 2004 dans un peep-show dans lequel il était simple actionnaire. Il reconnaît les faits.
La somme perçue sur trois ans avoisine les 200 000 euros.
Suite à cette affaire, Xavier Niel attaque plusieurs fois en diffamation le journal Libération et le journaliste Renaud Lecadre, auteur d’articles dans le quotidien et sur le site liberation.fr évoquant ses démêlés judiciaires. Mais Xavier Niel et la société Free sont déboutés systématiquement lors de procès qui se sont tenus au deuxième trimestre 2008, et condamnés à verser des dommages-intérêts à Libération pour procédures abusives.
Dans un article consacré à la liberté de la presse en France, le Réseau Voltaire met en parallèle la « rocambolesque dénonciation de proxénétisme » et l'incarcération de Xavier Niel avec le déferlement des chaînes de télévision via les lignes de téléphone, « dont il était le principal promoteur »
alors après ok il nous fait un forfait a prix "correct"...mais bon faut pas pousser, d’ailleurs sur son wiki ça fait pas envie...: je vous met quelques breves :
Il teste le potentiel du minitel dès 1983, alors qu'il est lycéen Il débute son parcours professionnel en 1984 en créant des services de minitel rose5, des peep-shows et sex-shops6. En 1987, il arrête sa classe préparatoire scientifique pour se lancer à plein temps dans une entreprise de services par minitel7.
Il rachète en 1991 Fermic Multimedia, un éditeur de services de minitel rose créé dans les années 1980, et le rebaptise Iliad8. Il en restera actionnaire majoritaire (66,5 % du capital en 2008 ).
Xavier Niel est mis en examen et placé en détention provisoire le 28 mai 2004 pendant un mois pour proxénétisme aggravé et recel d'abus de biens sociaux concernant un de ses peep-shows. Le 30 août 2005, une ordonnance de non-lieu est rendue en sa faveur par le juge d'instruction Renaud Van Ruymbeke concernant les accusations de proxénétisme.
Il est condamné le 27 octobre 2006 à deux ans d'emprisonnement avec sursis et à 250 000 euros d'amende par la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour recel d'abus de biens sociaux datant de 2001 à 2004 dans un peep-show dans lequel il était simple actionnaire. Il reconnaît les faits.
La somme perçue sur trois ans avoisine les 200 000 euros.
Suite à cette affaire, Xavier Niel attaque plusieurs fois en diffamation le journal Libération et le journaliste Renaud Lecadre, auteur d’articles dans le quotidien et sur le site liberation.fr évoquant ses démêlés judiciaires. Mais Xavier Niel et la société Free sont déboutés systématiquement lors de procès qui se sont tenus au deuxième trimestre 2008, et condamnés à verser des dommages-intérêts à Libération pour procédures abusives.
Dans un article consacré à la liberté de la presse en France, le Réseau Voltaire met en parallèle la « rocambolesque dénonciation de proxénétisme » et l'incarcération de Xavier Niel avec le déferlement des chaînes de télévision via les lignes de téléphone, « dont il était le principal promoteur »