Bonjour !
Je suis touchée par vos marques d'inquiétude.
Non je ne me tapais pas la tête sur le clavier Coquelicot, je ne me suis pas retrouvée entourée de dizaines d'hommes bien ou mal intentionnés, j'étais occupée oui, en quelque sorte par des examens médicaux plus ou moins bons et dans le sens contraire, plus ou moins mauvais.
Je n'ai pas eu le courage de venir et de faire comme si... car je suis entière et ne peux pas jouer.
J'ai aussi voulu affronter tout ça seule, comme je le fais toujours finalement. Je n'avais, et n'ai toujours pas envie d'ailleurs, d'en parler car j'ai peur que de se plaindre empire cet état.
Alors, prenez soin de vous car ça commence d'un côté et ça passe de l'autre... Ca vous fiche tout en l'air et même le sourire de votre enfant ne vous remet pas d'applomb.
Dieu sait si j'aime la vie... mais je ne crois à la réciprocité sur ce coup-là. Je continue de l'aimer, des jours un peu moins...
Merci à vous... :wink: