Si c’est le cas, sachant qu’on a affaire à du matériel biologique daté à minima d’un millier d’année, il s’agit alors de faux rituels datant de l’époque précolombienne. Et alors, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur le mobile et sur quels modèles les habiles manipulateurs se sont-ils inspirés pour œuvrer.
On sait que diverses civilisations humaines, dont certaines précolombiennes Pérou, ont infligé à leurs bébés des déformations, notamment l’élongation crânienne, sans qu’on en connaisse la véritable raison. L’une des explications donnée, comme quoi ce serait pour ressembler à un épi de maïs, me semble plus fantaisiste que l’hypothèse de vouloir ressembler à des visiteurs venus d’ailleurs que nous baptisons communément « Aliens », « extraterrestres » ou « Petits Gris »…
Des représentations picturales et sculpturales d’êtres semblables à l’image que nous nous faisons des extraterrestres « Petits Gris » ou reptiliens existent partout dans le monde, depuis la nuit des temps.
Un fait certain est qu’aucune espèce actuellement vivante sur Terre ne correspond biologiquement aux momies de Nazca et qu’à part le cas particulier de Wawita, on ne parvient pas à retrouver la moindre trace de manipulation (coupure, suture, …) sur les images de scanner.
Ces momies appellent à se poser de nombreuses questions, et il est tout juste stupéfiant qu’elles ne fassent pas la une de tous les journaux.
Le média indépendant Nuréa TV est l’un des seuls à consacrer à l’affaire un intérêt soutenu, une énergie considérable et des ressources humaines importantes, tout en maintenant toujours une position neutre, et en n’acceptant que les éléments factuels.
Il faudrait que les momies, qui sont toujours la propriété d’un certain Mario, soient enfin accessibles à divers scientifiques pour qu’ils puissent les analyser en toute indépendance. Ce Mario, qui pour mémoire est un pilleur de tombe, prétend subir de fortes pressions de la part du gouvernement péruvien et de sceptiques pour qu’il annonce publiquement que les momies sont en réalité trafiquées et menace de les vendre, à hauteur de 100 000 dollars pour chaque petit gris et un million de dollars pour Maria.
Le risque est qu’un tel matériel ne disparaisse au sein du cercle très fermé des collectionneurs privés, si ce n’est pour être détruit par des scientifiques darwiniens qui refusent toute alternative à la pensée actuelle qui veut que l’humain soit le seul humanoïde évolué ayant vécu sur Terre, et même au sein de tous l’univers…
D’autres momies semblables auraient d’ailleurs été vendues, par l’intermédiaire d’une plateforme brésilienne, dont « Petra » qui se retrouve aujourd’hui dans une collection privée en Russie ou en Amérique latine dont je vous est fait monter la vidéo .