Le mode de fonctionnement d’un filtre anti-poussière peut être comparé à celui d’un tamis. Plus il est fin, meilleur sera le filtrage. L’inconvénient d’un très bon filtre, c’est que les trous par lesquels on doit respirer sont petits et qu’il faut faire plus d’efforts pour respirer. La résistance à la respiration est plus importante avec un filtre fin qu’avec un gros filtre.
P1
Poussières inertes, fumées et brouillards qui n’entraînent aucune modification au niveau de la structure des voies respiratoires. Songez au gravier, aux échardes, etc.
P2
Poussières, fumées et brouillards nocifs pouvant affecter les voies respiratoires. À utiliser avec de la poussière nocive, comme celle des plaques de plâtre ou de la farine.
P3
Concentrations plus élevées de poussières nocives pouvant affecter les voies respiratoires. Songez aux poussières fines. Pour des poussières, fumées et brouillards hautement toxiques pouvant être absorbés dans le sang (particules de produits cancérigènes, particules de substances radioactives, bactéries, virus, enzymes et spores), la meilleure solution est un filtre P3 avec masque complet.
Source :
QUELLE EST LA DIFFERENCE ENTRE LES MASQUES ANTI-POUSSIERE P1, P2 ET P3 ?