Je ne sais pas comment ils vont se debrouiller car il leur faut louer les antennes d'autres operateur. Ils n'ont pas de points de presence si?
Autrement si ils ont trouve le moyen de passer par leur reseau VOIP ils peuvent sans doute faire des prix tres bas.
Les portables en France c'est l'arnaque. Ils se font des milliards depuis des annees, ils pourraient diviser les prix par 3 et toujours faire du benef a mon avis sans probleme.
Autrement si ils ont trouve le moyen de passer par leur reseau VOIP ils peuvent sans doute faire des prix tres bas.
Les portables en France c'est l'arnaque. Ils se font des milliards depuis des annees, ils pourraient diviser les prix par 3 et toujours faire du benef a mon avis sans probleme.
F
Fred
Invité
Les antennes de Free Mobile continuent de déranger
L’opérateur connaît une nouvelle levée de bouclier face à ses projets d’installation d'antennes mobiles. Cette fois, deux quartiers de Bordeaux sont mobilisés.
Il n’est pas toujours facile de passer en dernier. Free Mobile, qui a obtenu la quatrième licence mobile, connaît bien cette situation. Alors qu’il est en train d’installer les équipements techniques nécessaires au lancement de son offre en 2012, il affronte régulièrement la colère de riverains qui ne veulent pas d’antennes-relais supplémentaires dans leur quartier. Cette fois, c’est à Bordeaux que ses projets sont contrariés.
Le journal Sud Ouest relate les actions des habitants d’une résidence installée rue Amédée Saint-Germain, réunis au sein du collectif ICF St-Germain. Ceux-ci souhaitent l’abandon pur et simple du chantier destiné à installer trois antennes-relais sur le toit de leur immeuble. Ils craignent les effets nocifs des ondes émises sur la santé des riverains, particulièrement pour les plus jeunes. Ils mettent en avant le fait que des enfants habitent la résidence et que des assistantes maternelles y pratiquent leur activité.
L’opérateur connaît une nouvelle levée de bouclier face à ses projets d’installation d'antennes mobiles. Cette fois, deux quartiers de Bordeaux sont mobilisés.
Il n’est pas toujours facile de passer en dernier. Free Mobile, qui a obtenu la quatrième licence mobile, connaît bien cette situation. Alors qu’il est en train d’installer les équipements techniques nécessaires au lancement de son offre en 2012, il affronte régulièrement la colère de riverains qui ne veulent pas d’antennes-relais supplémentaires dans leur quartier. Cette fois, c’est à Bordeaux que ses projets sont contrariés.
Le journal Sud Ouest relate les actions des habitants d’une résidence installée rue Amédée Saint-Germain, réunis au sein du collectif ICF St-Germain. Ceux-ci souhaitent l’abandon pur et simple du chantier destiné à installer trois antennes-relais sur le toit de leur immeuble. Ils craignent les effets nocifs des ondes émises sur la santé des riverains, particulièrement pour les plus jeunes. Ils mettent en avant le fait que des enfants habitent la résidence et que des assistantes maternelles y pratiquent leur activité.
