F
Fred
Invité
Mapping Control lance une application Map my Mobiles, qui permet aux parents de suivre à la trace leurs petits chérubins.
Traditionnellement, cette entreprise se positionne plutôt comme un fournisseur de solutions BtoB (« Opérateur global en géolocalisation et géoservices »).
Traditionnellement, cette entreprise se positionne plutôt comme un fournisseur de solutions BtoB (« Opérateur global en géolocalisation et géoservices »).
Ses services sont utilisés pour le pointage de passage (pour les relevés de prix ou les entreprises de sécurité par exemple) ou les géoservices (gestion ou mission, de chantiers, etc).
Mapping Control vient de lancer une nouvelle application pour toucher le grand public. Et l’approche est controversée.
En installant l’application Map my Mobiles sur les smartphones de leurs enfants, les parents pourront voir en permanence sur Google Maps où ils se trouvent.
Une photo d’identité du bambin s’affichera à côté de sa location. Le parent pourra aussi accéder à un historique de 7 jours, et même définir jusqu’à 5 zones hors desquelles un SMS ou un e-mail lui est automatiquement envoyé.
En installant l’application Map my Mobiles sur les smartphones de leurs enfants, les parents pourront voir en permanence sur Google Maps où ils se trouvent.
Une photo d’identité du bambin s’affichera à côté de sa location. Le parent pourra aussi accéder à un historique de 7 jours, et même définir jusqu’à 5 zones hors desquelles un SMS ou un e-mail lui est automatiquement envoyé.
Elle est compatible avec Android (« Map my Droid » sur le market) et BlackBerry (à installer depuis une URL).
L’iPhone ne permettant pas de lancer une application au démarrage, Map my Mobiles n’y sera pas portée.
Elle coûte 19 euros par trimestre (prix standard). La licence est valable pour 4 smartphones par famille
source ITespresso
L’iPhone ne permettant pas de lancer une application au démarrage, Map my Mobiles n’y sera pas portée.
Elle coûte 19 euros par trimestre (prix standard). La licence est valable pour 4 smartphones par famille
source ITespresso