Si on doit se méfier des vendeurs de berlingots, maintentant !

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clarkgaybeul

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Cambriolages. Deux vendeurs de bonbons interpellés




Deux vendeurs de berlingots nantais ont été interpellés par les gendarmes à Sarzeau (56). Ils sont soupçonnés d'avoir commis une centaine de vols dans le pays de Vannes, en Loire-Atlantique et en Vendée. Le stratagème démonté par les gendarmes de la brigade de Sarzeau et la brigade de recherches de Vannes était bien huilé. «Les deux vendeurs approchaient le domicile de leur victime et faisaient le tour de la maison pour trouver une porte ou une fenêtre ouverte, explique le capitaine LoïcKervoern, commandant en second de la compagnie de gendarmerie de Vannes. Si quelqu'un les surprenait, ils se présentaient comme des vendeurs de berlingots nantais. En cas d'absence des occupants, ils en profitaient pour s'intéresser à toutes sortes d'objets de valeur: bijoux, argent liquide, téléphone, baladeurs numériques, écrans plats...». Selon les premiers éléments de l'enquête, ce mode opératoire a fait mouche une centaine de fois depuis le début de l'été. Des victimes ont ainsi été recensées en Vendée, en Loire-Atlantique et dans plusieurs communes du sud-est du Morbihan: Séné, Sarzeau, Questembert, Arzon, Saint-Gildas-de-Rhuys, Damgan, Péaule, Arzal...

Un document oubliéchez une victime

C'est à la suite d'un énième cambriolage commis à Sarzeau, rue Anne-de-Bretagne, que le duo s'est fait pincer. Leur erreur? Avoir laissé traîner chez la victime un document où apparaissaient les coordonnées de leur employeur. Prévenus, les gendarmes ont réussi à tendre un piège à ces deux Nantais âgés de 20ans pour les faire revenir sur les lieux du vol. Dans la foulée de leur interpellation, les enquêteurs sont allés perquisitionner, jeudi matin, leurs domiciles à Nantes et La Chapelle-sur-Erdre (44). «Plusieurs dizaines d'objets en provenance de cambriolages y ont été découverts», note le capitaine Loïc Kervoern. Vérification faite, les deux individus étaient bel et bien employés en tant que vendeurs saisonniers par une société commercialisant des berlingots nantais. «Cette entreprise n'est cependant pas mise en cause», tient à souligner l'officier de gendarmerie. Ils ont été présentés hier après-midi devant un juge d'instruction de Vannes, lequel les a mis en examen pour vols aggravés. Le juge des libertés et de la détention les a placés sous contrôle judiciaire.
 
c'est bien vrai clarky mieux vaut prevenir c'est pour te taquiner:-D

c 'est comme ce matin ils disent qu'ils ont retrouvé une femme coupée en 8 a st etienne c'est tt pres de la que je pars en vacances :cry:

on entend que des choses comme ca en ce moment c'est pas tres gai pour le moral tout ca:cry:
 
c'est bien vrai clarky mieux vaut prevenir c'est pour te taquiner:-D

c 'est comme ce matin ils disent qu'ils ont retrouvé une femme coupée en 8 a st etienne c'est tt pres de la que je pars en vacances :cry:

on entend que des choses comme ca en ce moment c'est pas tres gai pour le moral tout ca:cry:


T'inquiète, Voltaya, moi, je ne suis pas du tout susceptible, on peut me vanner :-D.
Je ne me mets en mode fâché juste quand je lis des conneries :icon_wink: et qu'elles sont soutenues avec sérieux. Je reconnais mes conneries et je ne comprends pas que tout le monde n'en fasse pas autant.

8 morceaux ??? Pas entendu parler, je vais chercher, ça fait : la tête, le corps, les membres (sûrement les jambes en deux, ça prend trop de place :-? ! Vais voir, j'aime bien comprendre.
 
Découpée en 8 morceaux.

Saint-Etienne : une femme étranglée et découpée en huit morceaux

Un jeune homme de 25 ans, vivant à Saint-Étienne (Loire), a avoué aux forces de l'ordre, dimanche 16 août, avoir assassiné une femme de 37 ans et avoir découpé son corps… en huit morceaux.
Le jeune homme aurait invité vendredi soir la victime avec qu'il aurait eu une courte aventureet lui aurait fait des avances qu'elle aurait repoussées. La victime lui annonce alors qu'elle lui a déjà transmis le sida.

L'homme, devenu fou de rage, l'aurait alors saisie au cou. La victime aurait tenté de se défendre avec un couteau de cuisine. Mais le jeune homme serait parvenu à la désarmer, puis l'aurait ensuite étranglé "pendant cinq à dix minutes" et aurait fini par lui planter la lame du couteau dans sa gorge.
Ensuite, il aurait entrainé le corps sans vie dans la baignoire afin de découper la femme en huit morceaux à l'aide d'une scie. Il a ensuite placé les morceaux dans différents sacs poubelles qu'il a jetés dans différentes bennes de son quartier.
Le jeune homme, inconnu des services de police, aurait déjà eu des antécédents psychiatriques, selon les premiers éléments de l'enquête. Placé en garde à vue, le meurtrier sera déféré aujourd'hui devant le parquet de Saint-Etienne et devra faire l'objet d'une expertise psychiatrique pour savoir s'il peut répondre de ses actes face à la justice.