F
Fred
Invité
Le constructeur NEC a lancé le 18 avril au Japon un téléphone portable muni de deux écrans. Un pari risqué qui pourrait cependant faire des émules.
Les Japonais sont chanceux ! Face au manque d’innovations des constructeurs actuels, il convient de saluer comme il se doit le projet de NEC, géant japonais historique de l’industrie informatique qui a complètement manqué le virage du smartphone. Alors que des rumeurs font état de la cession de sa division téléphones mobiles au constructeur chinois Lenovo, NEC commercialise, uniquement sur le marché japonais avec l’opérateur Docomo, un téléphone mobile à double écran, le Medias W N-05. Pliable, il s’utilise comme un smartphone classique, avec un écran tactile devant et un autre derrière
Ouvert à 180°, il affiche un écran total de 5,6 pouces (14,2 cm). L’utilisateur peut ainsi regarder deux sites internet en même temps (un sur chaque écran), se servir du mobile comme d’un ordinateur (clavier sur l’écran inférieur), ou bien encore avoir une seule et même image ou vidéo sur les deux écrans (pour lire des livres, regarder des films,…). Le mobile fonctionnera sous Android et sera équipé de technologies modernes comme le paiement sans contact, monnaie courante depuis plusieurs années au pays du Soleil Levant.
La commercialisation de ce mobile enchante la Russie. Le fabricant Yota envisage en effet de sortir un modèle similaire, à la différence près qu’il ne sera pas pliable.
Mi-téléphone, mi-liseuse, son smartphone de 140 grammes, compatible 4G, possède deux écrans de 4,3 pouces chacun. Côté pile un écran couleur tactile classique, côté face un écran noir et blanc de type e-link, comme sur les liseuses électroniques de type Kindle. Il affiche les documents (photos, textes, notifications réseaux sociaux…) sélectionnés par l’utilisateur, en liaison avec son acolyte côté pile. Le tout sans consommation d’énergie supplémentaire. Ni le prix, ni la date de commercialisation ne sont encore connus, même si des rumeurs persistantes venues de la Place Rouge parlent d’une disponibilité dans le courant du dernier trimestre 2013.
Les ventes du modèle NEC influeront sans aucun doute sur la pertinence ou non de proposer le Yotaphone aux utilisateurs russes. Malgré le fort potentiel des marchés japonais et russes, les fins observateurs de la hi-tech, se basant sur l’échec de la Sony Tablet P sortie fin 2011, ne prédisent pas un grand avenir aux originalités made in NEC et Yota. Qui permettraient pourtant à leurs acheteurs de se démarquer de la masse, ce que l’on rêve tous de faire d’une manière ou d’une autre, non ?
source gqmagazine
Les Japonais sont chanceux ! Face au manque d’innovations des constructeurs actuels, il convient de saluer comme il se doit le projet de NEC, géant japonais historique de l’industrie informatique qui a complètement manqué le virage du smartphone. Alors que des rumeurs font état de la cession de sa division téléphones mobiles au constructeur chinois Lenovo, NEC commercialise, uniquement sur le marché japonais avec l’opérateur Docomo, un téléphone mobile à double écran, le Medias W N-05. Pliable, il s’utilise comme un smartphone classique, avec un écran tactile devant et un autre derrière
Ouvert à 180°, il affiche un écran total de 5,6 pouces (14,2 cm). L’utilisateur peut ainsi regarder deux sites internet en même temps (un sur chaque écran), se servir du mobile comme d’un ordinateur (clavier sur l’écran inférieur), ou bien encore avoir une seule et même image ou vidéo sur les deux écrans (pour lire des livres, regarder des films,…). Le mobile fonctionnera sous Android et sera équipé de technologies modernes comme le paiement sans contact, monnaie courante depuis plusieurs années au pays du Soleil Levant.
La commercialisation de ce mobile enchante la Russie. Le fabricant Yota envisage en effet de sortir un modèle similaire, à la différence près qu’il ne sera pas pliable.
Mi-téléphone, mi-liseuse, son smartphone de 140 grammes, compatible 4G, possède deux écrans de 4,3 pouces chacun. Côté pile un écran couleur tactile classique, côté face un écran noir et blanc de type e-link, comme sur les liseuses électroniques de type Kindle. Il affiche les documents (photos, textes, notifications réseaux sociaux…) sélectionnés par l’utilisateur, en liaison avec son acolyte côté pile. Le tout sans consommation d’énergie supplémentaire. Ni le prix, ni la date de commercialisation ne sont encore connus, même si des rumeurs persistantes venues de la Place Rouge parlent d’une disponibilité dans le courant du dernier trimestre 2013.
Les ventes du modèle NEC influeront sans aucun doute sur la pertinence ou non de proposer le Yotaphone aux utilisateurs russes. Malgré le fort potentiel des marchés japonais et russes, les fins observateurs de la hi-tech, se basant sur l’échec de la Sony Tablet P sortie fin 2011, ne prédisent pas un grand avenir aux originalités made in NEC et Yota. Qui permettraient pourtant à leurs acheteurs de se démarquer de la masse, ce que l’on rêve tous de faire d’une manière ou d’une autre, non ?
source gqmagazine