F
Fred
Invité
Google Earth passe le cap du milliard de téléchargements, toutes plates-formes confondues. Lancé en juin 2005, ce service gratuit qui entretient des liens étroits avec l’écosystème de cartographie Maps s’est notamment doté de fonctionnalités de visualisation du globe en 3D.
Plus très loin de décrocher la Lune, Google Earth s’est exporté de la Toile vers une constellation de plates-formes logicielles.
Disponible sur Windows, Mac OS et Linux, il s’est également exporté vers les systèmes d’exploitation mobiles, tout en conservant son statut de plug-in pour un large éventail de navigateurs.
L’été a marqué son intronisation au sein du réseau social de la firme de Mountain View, Google+, et son ouverture consécutif à un public de plusieurs dizaines de millions d’utilisateurs.
Google lui a adjoint une carte du ciel et, plus récemment, une fonctionnalité de prévisualisation de trajets en 3D.
Responsable produit chez Google, Peter Birch se dit « fasciné par la manière dont les gens utilisent Google Earth pour explorer le monde« , reconstitué à partir de clichés pris depuis les airs ou par ces fameuses Google Cars, des véhicules distinctifs sources des plus improbables anecdotes.
Ainsi l’Etat israélien a-t-il fait pression face à l’intrusion, malvenue en son territoire, de Google. Le gouvernement de Benjamin Netanyahou avait en effet émis une sérieuse réserve quant à l’éventuel concours que pouvaient apporter Google Earth et Street View aux terroristes.
Mais l’usage a par ailleurs accouché de réjouissances, ponctuées par des découvertes archéologiques et océanographiques.
Pour l’occasion, Google a ouvert un site dédié, dont l’intitulé « One World, Many Stories » (« Un monde, beaucoup d’histoires ») répercute à lui seul la dimension universelle qu’a acquis cette mappemonde virtuelle.
source ITespresso
Plus très loin de décrocher la Lune, Google Earth s’est exporté de la Toile vers une constellation de plates-formes logicielles.
Disponible sur Windows, Mac OS et Linux, il s’est également exporté vers les systèmes d’exploitation mobiles, tout en conservant son statut de plug-in pour un large éventail de navigateurs.
L’été a marqué son intronisation au sein du réseau social de la firme de Mountain View, Google+, et son ouverture consécutif à un public de plusieurs dizaines de millions d’utilisateurs.
Google lui a adjoint une carte du ciel et, plus récemment, une fonctionnalité de prévisualisation de trajets en 3D.
Responsable produit chez Google, Peter Birch se dit « fasciné par la manière dont les gens utilisent Google Earth pour explorer le monde« , reconstitué à partir de clichés pris depuis les airs ou par ces fameuses Google Cars, des véhicules distinctifs sources des plus improbables anecdotes.
Ainsi l’Etat israélien a-t-il fait pression face à l’intrusion, malvenue en son territoire, de Google. Le gouvernement de Benjamin Netanyahou avait en effet émis une sérieuse réserve quant à l’éventuel concours que pouvaient apporter Google Earth et Street View aux terroristes.
Mais l’usage a par ailleurs accouché de réjouissances, ponctuées par des découvertes archéologiques et océanographiques.
Pour l’occasion, Google a ouvert un site dédié, dont l’intitulé « One World, Many Stories » (« Un monde, beaucoup d’histoires ») répercute à lui seul la dimension universelle qu’a acquis cette mappemonde virtuelle.
source ITespresso