F
Fred
Invité
Free a assigné son concurrent Numericable devant le tribunal de commerce de Paris et lui réclame 10 millions d’euros. Free reproche à Numericable d’avoir utilisé dans ses messages publicitaires le terme «Révolution», alors qu’il le considère comme son slogan identitaire.
Il y a plusieurs mois, Numericable avait lancé une campagne promettant une «révolution du mobile», avant de dévoiler une offre de téléphonie mobile illimitée à partir de 24,90 euros par mois.
Mercredi, via Twitter, le groupe a de nouveau enfoncé le clou, annonçant que «la révolution du mobile continue», en prélude à une nouvelle offre attendue la semaine prochaine. La guerre sur le marché du mobile est bel et bien déclenchée.
L’opérateur réitère sa promesse de diviser par deux la facture mobile des Français. Il dénonce les forfaits incompréhensibles et illisibles de ses concurrents.
«Je ne peux pas marcher dans la rue, prendre un taxi, déjeuner dans un restaurant sans que les gens m’interpellent et me posent des questions sur notre future offre mobile . L’attente des consommateurs est immense», jubile Xavier Niel, fondateur de Free. Et les consommateurs en fin d’abonnement préfèrent actuellement attendre avant de se réengager 24 mois chez un concurrent. C’est certain, l’arrivée de Free dans le mobile -en octobre ou novembre- va secouer le marché.
Il y a plusieurs mois, Numericable avait lancé une campagne promettant une «révolution du mobile», avant de dévoiler une offre de téléphonie mobile illimitée à partir de 24,90 euros par mois.
Mercredi, via Twitter, le groupe a de nouveau enfoncé le clou, annonçant que «la révolution du mobile continue», en prélude à une nouvelle offre attendue la semaine prochaine. La guerre sur le marché du mobile est bel et bien déclenchée.
L’opérateur réitère sa promesse de diviser par deux la facture mobile des Français. Il dénonce les forfaits incompréhensibles et illisibles de ses concurrents.
«Je ne peux pas marcher dans la rue, prendre un taxi, déjeuner dans un restaurant sans que les gens m’interpellent et me posent des questions sur notre future offre mobile . L’attente des consommateurs est immense», jubile Xavier Niel, fondateur de Free. Et les consommateurs en fin d’abonnement préfèrent actuellement attendre avant de se réengager 24 mois chez un concurrent. C’est certain, l’arrivée de Free dans le mobile -en octobre ou novembre- va secouer le marché.