Poème : Foutue maladie
Bien que la maladie t'ai touché
Je tai toujours autant aimé
Je savais que nous allions etre séparé
Et qu'un jour tu ne seras qu'avec moi par la pensée
Jamais je ne t'aurais laisser tomber
Tu as toujours été là pour me réconforter
Cétait à mon tour maintenant de taider
Jusquà ton dernier souffle jétais à tes cotés
A te tenir la main malgrè que tu souffrais
Je prenais la douleur sur moi pour ne pas te destabiliser
Ta vie ne tenais quà un fil mais mais tu as resisté
Je me cachais derriere un masque pour ne pas me dévoiler
Je voulais comme derniere image une fille forte et dévouée
Mon aide t'as été précieuse car tu étais reposé
Dans la nuit tu es partis avec une mine apaisée
A coté de ton lit, en te tenant la main je suis restée avec sophie ta petite fille adorée
Jamais tu ne t'ai réveillé
Je te devais bien ca ô ma chère mère
Je t'aime
Je te rejoindrais à un moment donné
Et on se retrouvera enfin pour léternité. . .
ta fille adorée
Bien que la maladie t'ai touché
Je tai toujours autant aimé
Je savais que nous allions etre séparé
Et qu'un jour tu ne seras qu'avec moi par la pensée
Jamais je ne t'aurais laisser tomber
Tu as toujours été là pour me réconforter
Cétait à mon tour maintenant de taider
Jusquà ton dernier souffle jétais à tes cotés
A te tenir la main malgrè que tu souffrais
Je prenais la douleur sur moi pour ne pas te destabiliser
Ta vie ne tenais quà un fil mais mais tu as resisté
Je me cachais derriere un masque pour ne pas me dévoiler
Je voulais comme derniere image une fille forte et dévouée
Mon aide t'as été précieuse car tu étais reposé
Dans la nuit tu es partis avec une mine apaisée
A coté de ton lit, en te tenant la main je suis restée avec sophie ta petite fille adorée
Jamais tu ne t'ai réveillé
Je te devais bien ca ô ma chère mère
Je t'aime
Je te rejoindrais à un moment donné
Et on se retrouvera enfin pour léternité. . .
ta fille adorée